Histoire sociale | l'Encyclopédie Canadienne

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  • Article

    Ligue pour l'unité ouvrière

    Ligue pour l'unité ouvrière La ligue pour l'unité ouvrière (LUO) est une fédération syndicale nationale formée en 1929 à l'initiative du PARTI COMMUNISTE DU CANADA, à la suite de la décision prise en 1928 par l'Internationale communiste (Komintern) enjoignant aux les communistes de rompre avec leur ancienne politique de collaboration au sein des partis travaillistes et syndicats existants et de radicaliser leurs positions. La nouvelle politique accentue la nécessité d'implanter des organisations révolutionnaires indépendantes des...

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    https://www.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9 Ligue pour l'unité ouvrière
  • Article

    Ligues ouvrières féminines

    Les Ligues ouvrières féminines font leur apparition au Canada avant la Première Guerre mondiale. Créées sur le modèle des ligues ouvrières britanniques, qui sont affiliées au Parti travailliste indépendant, leur but consiste à soutenir les luttes des ouvrières et à appuyer le mouvement ouvrier.

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    https://www.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9 Ligues ouvrières féminines
  • Éditorial

    Internement des Canadiens d’origine japonaise : prisonniers dans leur propre pays

    À compter du début de l’année 1942, le gouvernement fédéral détient plus de 90 % des Canadiens d’origine japonaise vivant en Colombie‑Britannique, soit quelque 21 000 personnes, et les dépossède de leurs biens. Elles resteront internées en vertu de la Loi sur les mesures de guerre jusqu’à la fin de la Deuxième Guerre mondiale. Pendant ce temps, le gouvernement procède à la vente de leurs entreprises et de leurs biens immobiliers afin de « payer » leur détention. En 1988, le premier ministre Brian Mulroney présente des excuses au nom du gouvernement canadien pour les torts que le gouvernement a commis à l’encontre des Canadiens japonais. Le gouvernement effectue également des paiements de réparation symboliques et abroge la Loi sur les mesures de guerre.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/c61c85b5-d92f-44a0-8602-7e2c38458873.jpg Internement des Canadiens d’origine japonaise : prisonniers dans leur propre pays
  • Article

    Mouvements de femmes au Canada

    Les Canadiennes ont pris part à de nombreux mouvements sociaux, à la fois de leur propre chef ou en collaboration avec des hommes.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/Twitter_Cards/International Women's Day 5 (1).jpg Mouvements de femmes au Canada
  • Article

    Pensionnats indiens au Canada (résumé en langage simple)

    Au début des années 1600, les religieuses et prêtres catholiques établissent les premiers pensionnats indiens au Canada (voir aussi Indien). En 1883, ces institutions commencent à recevoir du financement de la part du gouvernement fédéral. Cette même année, le gouvernement du Canada autorise officiellement la création du système des pensionnats indiens. L’objectif principal de ce système est d’assimiler les enfants autochtones à la société chrétienne blanche. (Voir aussi Les expériences des Inuits dans les pensionnats indiens et Les expériences des Métis dans les pensionnats indiens.) (Cet article est un résumé en langage simple de l’histoire des pensionnats indiens. Si vous souhaitez approfondir le sujet, veuillez consulter notre article intégral, Pensionnats indiens au Canada)

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/8d3d94d2-cb82-47ad-97a5-a70b351c44e4.jpg Pensionnats indiens au Canada (résumé en langage simple)
  • Article

    Prohibition au Canada

    La prohibition au Canada a été le résultat du mouvement de tempérance. Ce mouvement faisait appel à la modération ou à l’abstinence totale d’alcool, il était basé sur la conviction que l’alcool était responsable de nombreux maux de la société. La Loi de tempérance du Canada (Scott Act) de 1878 a offert aux gouvernements municipaux « l’option locale » de bannir la vente d’alcool. La prohibition a été adoptée pour la première fois sur une base locale à l’Île-du-Prince-Édouard en 1901. Elle est devenue une loi dans les autres provinces, ainsi qu’au Yukon et à Terre-Neuve durant la Première Guerre mondiale. L’alcool pouvait être légalement produit au Canada (mais ne pouvait y être vendu) et exporté de manière légale à partir des ports canadiens. La plupart des lois provinciales ont été abrogées dans les années 1920. L’Île-du-Prince-Édouard a été la dernière à abandonner la « noble expérience » en 1948.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/c0f20001-e566-4ebf-9c88-f1a5ae278291.jpg Prohibition au Canada
  • Article

    Refus global

    Refus global est un manifeste qui a été publié en 1948 et signé par 16 membres de la communauté artistique québécoise. Il remet en cause les valeurs traditionnelles du Québec. Il encourage également l’ouverture de la société québécoise à la pensée internationale. (Voir aussi Révolution tranquille.)

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/fe698d06-4a75-46e2-aa34-435400e0724e.jpg Refus global
  • Article

    Manifeste Refus Global

    Rejetons de modestes familles canadiennes-françaises, ouvrières ou petit bourgeoises, de l'arrivée du pays à nos jours restées françaises et catholiques par résistance au vainquer, par attachement, arbitraire au passé, par plaisir et orgueil sentimental et autres nécessités.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/1eeca976-046e-482e-ad6e-6c08419b4a46.jpg Manifeste Refus Global
  • Article

    Représentations du front intérieur : les femmes du Fonds des souvenirs de guerre canadiens

    Bien qu’elles n’aient pas eu l’occasion d’aller sur les champs de bataille, de nombreuses artistes canadiennes ont laissé leur marque dans la culture visuelle de la Première Guerre mondiale en offrant des représentations du front intérieur. Les premières d’entre elles sont affiliées au Fonds des souvenirs de guerre canadiens, le tout premier programme canadien d’art de guerre officiel. Fondé en 1916, le Fonds a comme mission l’offre d’œuvres commémoratives appropriées sous forme de tableaux et de peintures à l’huile aux héros et aux héroïnes de guerre du Canada. Les expatriées Florence Carlyle et Caroline Armington participent au programme alors qu’elles sont à l’étranger, tandis que les artistes Henrietta Mabel May, Dorothy Stevens, Frances Loring et Florence Wyle produisent des commandes du Fonds qui documentent les efforts de guerre au Canada.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/c5bd4814-1974-4a38-b0bf-006c4ec26687.jpg Représentations du front intérieur : les femmes du Fonds des souvenirs de guerre canadiens
  • Article

    Se souvenir de la chasse au morse

    Les Aivilingmiuts de Nunavut sont des chasseurs de morse. Comme de nombreux autres groupes régionaux d’Inuits, ils ont été nommés d’après l’animal qui assurait jadis leur survie.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/b0be7080-64dd-42a1-b455-dcf920df8bfa.jpg Se souvenir de la chasse au morse
  • Article

    Ségrégation raciale des Noirs au Canada

    La ségrégation raciale consiste en la séparation de personnes ou de groupes de personnes dans la vie quotidienne en fonction de leur race. Tout au long de l’histoire du Canada, de nombreux Noirs sont victimes de ségrégation, sont exclus ou n’ont pas droit à l’égalité d’accès à des occasions et à des services, comme l’éducation, l’emploi, le logement, le transport, l’immigration, les soins de santé et les établissements commerciaux. La ségrégation raciale des Noirs au Canada est historiquement renforcée par des lois, des décisions judiciaires et des normes sociales. (Voir aussi Canadiens noirs; Racisme anti-noir au Canada.)

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/new_article_images/RacialSegregationBlackPeopleCanada/Ar00710.png Ségrégation raciale des Noirs au Canada
  • Article

    Esclavage des Autochtones au Canada

    L’esclavage des Autochtones incarne, dans une très large mesure, ce qu’a été l’esclavage au Canada. Au moins les deux tiers des esclaves de Nouvelle-France sont des Autochtones. Le nombre d’esclaves autochtones introduits au Canada français diminue après 1750. Lors de l’abolition de l’esclavage dans les colonies britanniques en 1834, le nombre des esclaves noirs dépasse de loin celui des esclaves autochtones. L’esclavage des peuples autochtones fait partie d’un sombre héritage de la colonisation qui a eu des répercussions sur des générations d’Autochtones au Canada et dans toute l’Amérique du Nord.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/1ddef9e7-e3c5-4510-9e9c-e1994ac29434.jpg Esclavage des Autochtones au Canada
  • Article

    Syndicalisme industriel révolutionnaire

    Le syndicalisme industriel révolutionnaire est un vaste mouvement international voué au regroupement des travailleurs en des organisations ouvrières unies visant à renverser le système capitaliste au moyen de mesures industrielles, dont la grève générale.

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    https://www.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9 Syndicalisme industriel révolutionnaire
  • Article

    The Provincial Freeman

    En 1959, un article du Journal of Negro History annonce la découverte d’exemplaires d’un journal hebdomadaire qui aurait été considéré comme longtemps perdu dans l’histoire. Un tirage considérable d’un volume relié et couvert de poussière du journal Provincial Freeman, qui avait été publié de 1853 à 1860, se trouvait dans la tour de la bibliothèque de l’Université de Pennsylvanie depuis le début des années 1900. Ce qui rendait ce journal si unique n’était pas le simple fait qu’il était le deuxième journal publié par et destiné à des Canadiens d’origine africaine. Ce journal était entré dans l’histoire en tant que premier journal de l’Amérique du Nord à être publié et dirigé par une femme noire, Mary Ann Shadd.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/c66e93b7-de62-464f-8023-84993b922ccb.jpg The Provincial Freeman
  • Macleans

    Toronto's Days of Protest

    Cet article a été initialement publié dans le magazine Macleans (04/11/1996)

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    https://www.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9 Toronto's Days of Protest