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Les Montagnards
Les Montagnards. Nom adopté par diverses sociétés chorales montréalaises et québécoises à la suite de la tournée au Québec (août 1856) des Montagnards basques, troupe française dirigée par Alfred Rolland.
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Les Montagnards. Nom adopté par diverses sociétés chorales montréalaises et québécoises à la suite de la tournée au Québec (août 1856) des Montagnards basques, troupe française dirigée par Alfred Rolland.
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On entend souvent dire que les Inuits ont des dizaines de mots pour désigner la neige et la glace. L'anthropologue John Steckley, dans son ouvrage White Lies about the Inuit (2007) a fait remarquer que le total le plus souvent cité est de 52 termes différents en inuktitut. Cette croyance en un nombre élevé de mots pour « neige » et « glace » a ensuite été vertement critiquée par bon nombre de linguistes et d'anthropologues.
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On entend souvent dire que les Inuits ont des dizaines de mots pour désigner la neige et la glace. L'anthropologue ontarien John Steckley (dans White Lies about the Inuit, 2008) a fait remarquer que selon la croyance populaire, en inuktitut, la langue des Inuits de l'Arctique oriental canadien, le nombre de mots pour « neige » contient généralement le chiffre deux, et que le total le plus souvent cité est de 52 termes différents.
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Collection
Les peuples autochtones sont les premiers habitants des terres qui forment aujourd’hui le Canada. L’histoire des Inuits et des Premières Nations remonte à bien avant l’arrivée des Européens au Canada, alors que la culture distincte des Métis naît des mariages entre les pionniers européens et les membres des Premières Nations. Au début, les peuples autochtones ont été au cœur du développement du Canada. Toutefois, ils ont été victimes d’un déclin démographique majeur en raison de...
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Des milliers d’Autochtones ont servi dans les Forces armées canadiennes pendant la Première Guerre mondiale, la Deuxième Guerre mondiale, la plupart du temps en tant que volontaires. Sur le front intérieur, la plupart des communautés autochtones ont participé à l’effort national de guerre selon différentes modalités. Les guerres mondiales ont représenté pour les peuples autochtones du Canada des événements historiques d’une portée considérable. (Voir Les peuples autochtones et la Première Guerre mondiale et Les peuples autochtones et la Deuxième Guerre mondiale.) Ces conflits ont offert à des populations marginalisées des occasions de redonner vie à des cultures guerrières traditionnelles, de réaffirmer le caractère sacré des traités conclus avec le Canada, de prouver leur valeur à une population canadienne qui les considérait avec indifférence, de briser les barrières sociales et de trouver de bons emplois.
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Le mot « pow-wow » tire ses origines des Algonquins, qui utilisaient les mots narragansett pau wau pour décrire un guérisseur ou un rassemblement de chefs spirituels dans une cérémonie de guérison. D’autres avancent que « pow-wow » est issu du mot pawnee pa wa, signifiant « manger », ce qui pourrait faire référence à un grand rassemblement de personnes qui célèbrent ou commémorent un événement. Aujourd’hui, les pow-wow sont des événements regroupant diverses communautés autochtones, souvent ouverts au grand public, visant à célébrer les divers aspects personnels et culturels de la spiritualité, la communauté et l’identité autochtones. Malgré quelques différences dans les styles de musique et de danse entre les nations autochtones, tous les pow-wow servent à honorer l’héritage des Premières Nations et à célébrer leur culture en constante évolution.
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Les Siksika, aussi connus sous l’appellation de Pieds‑Noirs, sont l’une des trois nations qui composent la Confédération des Pieds‑Noirs. (Les deux autres sont les Piikani et les Kainai.) Dans la langue des Pieds‑Noirs, Siksika signifie « Pieds‑Noirs ». En janvier 2024, la nation des Siksika dénombre 7 767 membres inscrits, 4 218 d’entre eux vivant dans une réserve en Alberta.
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La Force 136 est une division du service britannique Special Operations Executive (SOE; Direction des opérations spéciales) pendant la Deuxième Guerre mondiale. Ses missions secrètes, basées dans l’Asie du Sud-Est occupée par les Japonais, visent à soutenir et à entraîner les mouvements de résistance locaux pour saboter les voies de ravitaillement et l’équipement des Japonais. Bien que la Force 136 recrute principalement des Asiatiques du Sud-Est, elle mobilise également environ 150 Sino-Canadiens, desquels on s’attend à ce qu’ils se fondent dans la population locale et parlent la langue commuane. Plus tôt au cours de la guerre, plusieurs de ces hommes avaient offert leurs services au Canada, mais avaient été refusés dans l’armée ou encore enrôlés, puis mis de côté. La Force 136 devient ainsi une occasion pour les Sino-Canadiens de prouver leur courage, leurs habiletés et, surtout, leur loyauté envers le Canada.
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L’archiviste Barbara M. Wilson analyse l’importance d’une lettre adressée à sir Sam Hughes par George Morton, un défenseur des droits civiques, originaire de Hamilton, en Ontario, qui exerçait le métier de coiffeur et de facteur. Dans sa lettre, datée du 7 septembre 1915, il demande au ministre de la Milice et de la Défense pourquoi les membres de la communauté noire ont été refoulés lorsqu’ils ont tenté de s’enrôler pour servir dans le Corps expéditionnaire canadien pendant la Première Guerre mondiale. (See also Volontaires noirs dans le Corps expéditionnaire canadien.)
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La Lettonie est un petit pays situé sur la côte est de la mer Baltique. Il a des frontières communes avec la Russie, la Lituanie, le Bélarus et l’Estonie. Constituée en tant qu’État indépendant après la Première Guerre mondiale, la Lettonie est occupée par l’Union soviétique en 1940, ensuite par les nazis de 1941 à 1944, puis de nouveau par l’Union soviétique. En 1945, 110 000 Lettons ayant fui vers l’Europe de l’Ouest sont classés comme personnes déplacées. De ce nombre, 14 911 immigrent éventuellement au Canada. Le recensement de 2016 fait état de 30 725 personnes d’origine lettone au Canada (7040 de réponses uniques et 23 685 de réponses multiples).
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Georges-Henri Lévesque, prêtre, sociologue, administrateur (né le 16 février 1903 à Roberval, QC; décédé le 15 janvier 2000). Après des études au collège dominicain d'Ottawa et à l'U. de Lille, en France, il enseigne au collège dominicain ainsi qu'à l'U. de Montréal et à l'U. Laval.
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Jean-Baptiste L'Heureux (L'Acadie, Bas-Canada, 25 juin 1831 -- Midnapore, Alb., 19 mars 1919). L'Heureux étudie pour devenir prêtre, mais n'est jamais ordonné. Selon la tradition, il aurait été expulsé du Séminaire de Saint-Hyacinthe pour avoir commis un crime.
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Entrevue
Bill Vigars explique l’enthousiasme de Terry Fox pour le Marathon de l'espoir dans une entrevue enregistrée en 2015 par Historica Canada.
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Entrevue
Darrell Fox discute de la détermination de son frère dans une entrevue enregistrée en 2015 par Historica Canada.
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Entrevue
Leslie Scrivener raconte sa première rencontre avec Terry Fox et comment elle a été frappée par son optimisme et sa détermination dans une entrevue enregistrée en avril 2015 par Historica Canada.
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