Communautés et sociologie | l'Encyclopédie Canadienne

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    Préjugés et discrimination au Canada

    Le terme « préjugé » désigne un jugement négatif non confirmé porté a priori sur des gens ou des groupes en raison notamment de leur ethnicité, de leur religion ou de leur race.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/53fa1c39-873e-4b13-ad8f-64872464d594.jpg Préjugés et discrimination au Canada
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    Premières Nations

    Les Premières Nations sont l’un des trois groupes de peuples autochtones au Canada, les deux autres étant les Métis et les Inuits. Contrairement aux Métis et aux Inuits, la plupart des Premières Nations possèdent des réserves. Cela dit, les membres des Premières Nations peuvent vivre aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur de ces réserves. Le terme « Première Nation » peut désigner un vaste groupe ethnique (comme celui de la nation crie) mais, dans d’autres cas, il peut être synonyme du terme « bande ». Ce dernier a été choisi au départ par le gouvernement fédéral et est utilisé dans la Loi sur les Indiens. Le terme « bande » désigne des communautés plus petites. Beaucoup de Premières Nations préfèrent le terme « Première Nation » à celui de « bande ».

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/4bdede30-06f1-4f71-9047-c7db15051829.jpg Premières Nations
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    Sheila Na Geira

    Selon la légende, Sheila Na Geira (également orthographiée NaGeira et Nagira) était une aristocrate ou princesse irlandaise qui, il y a 300 ou 400 ans, alors qu’elle voyageait entre la France et l’Irlande, a été capturée par un navire de guerre néerlandais, puis sauvée par des corsaires britanniques. Elle est tombée amoureuse et a épousé l’un des corsaires, le lieutenant Gilbert Pike. Ils se sont installés à l’ouest de la baie de la Conception. Au début du 20e siècle, la légende était racontée dans le cadre de la tradition orale de Terre-Neuve et a depuis été popularisée par des poèmes, des romans, des articles scientifiques et plusieurs pièces de théâtre.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/dreamstime_resize_33120989-2.jpg Sheila Na Geira
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    Prohibition au Canada

    La prohibition au Canada a été le résultat du mouvement de tempérance. Ce mouvement faisait appel à la modération ou à l’abstinence totale d’alcool, il était basé sur la conviction que l’alcool était responsable de nombreux maux de la société. La Loi de tempérance du Canada (Scott Act) de 1878 a offert aux gouvernements municipaux « l’option locale » de bannir la vente d’alcool. La prohibition a été adoptée pour la première fois sur une base locale à l’Île-du-Prince-Édouard en 1901. Elle est devenue une loi dans les autres provinces, ainsi qu’au Yukon et à Terre-Neuve durant la Première Guerre mondiale. L’alcool pouvait être légalement produit au Canada (mais ne pouvait y être vendu) et exporté de manière légale à partir des ports canadiens. La plupart des lois provinciales ont été abrogées dans les années 1920. L’Île-du-Prince-Édouard a été la dernière à abandonner la « noble expérience » en 1948.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/c0f20001-e566-4ebf-9c88-f1a5ae278291.jpg Prohibition au Canada
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    La propagande au Canada

    La propagande fait référence aux messages qui visent à répandre, ou « propager », une idéologie ou une vision du monde. Des psychologues ont défini la propagande comme « une persuasion manipulatrice au service d’un objectif » ou une communication qui « incite un individu à suivre des pulsions émotionnelles non rationnelles ». Pendant la Première Guerre mondiale, la propagande a été utilisée pour recruter des soldats et des partisans. Pendant la Deuxième Guerre mondiale, elle a pris un virage plus ténébreux, étant utilisée pour véhiculer des mensonges qui répandaient des idéologies et des pratiques haineuses. (Voir aussi Fausses nouvelles (ou désinformation) au Canada.) Pendant la Guerre froide, les gouvernements de l’Est et de l’Ouest ont utilisé la propagande pour répandre leurs idéologies sur le capitalisme et la démocratie, le communisme et l’Union soviétique. Aujourd’hui, la propagande se retrouve surtout dans les médias sociaux, et elle sert à mobiliser le soutien ou l’opposition à divers mouvements politiques, économiques ou sociaux.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/new_article_images/Propaganda/492px-Canada_WWI_Victory_Bonds2.jpg La propagande au Canada
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    Prostitution

    La prostitution est la pratique qui consiste à échanger de l’argent contre des services sexuels. La prostitution n’a jamais été un crime en soi au Canada. Toutefois, les activités qui l’entourent, comme communiquer à propos de l’échange, sont illégales.

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    Protestantisme

    Lorsqu'une majorité catholique soigneusement arrangée rejette certaines réformes à la diète de Spire (Allemagne) en 1529, la minorité défaite reçoit le nom de « protestants », dérivé d'un mot latin qui veut dire « témoigner en faveur de quelque chose ».

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/30714712-4e41-49c8-b7a6-da44f6fb0b80.jpg Protestantisme
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    Province du Canada, 1841-1867

    En 1841, la Grande-Bretagne a uni les colonies du Haut et du Bas-Canada en une seule province, la province du Canada. Cette union est faite en réponse aux rébellions violentes de 1837-1838. Le rapport Durham (1839) recommande les lignes directrices pour la création de la nouvelle colonie avec l’Acte d’Union. La province du Canada est composée du Canada-Ouest (anciennement le Haut-Canada) et du Canada-Est (anciennement le Bas-Canada). Les deux régions sont gouvernées conjointement jusqu’à ce que la province soit dissoute pour faire place à la Confédération en 1867. Le Canada-Ouest devient alors l’Ontario et le Canada-Est devient le Québec. La Province du Canada a été une expérience de 26 ans de coopération politique entre anglophones et francophones. Pendant cette période, un gouvernement responsable est né en Amérique du Nord britannique. En outre, l’expansion de l’échange et du commerce ont fourni de la richesse à la région, ce qui a permis la montée de chefs politiques tels que sir John A. Macdonald, sir George-Étienne Cartier et George Brown d’émerger et la mise sur pied de la Confédération. (Ce texte est l’article complet sur la Province du Canada. Si vous souhaitez en lire unrésumé en termes simples, veuillez consulter : Province du Canada (résumé en termes simples).)

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/dcae055f-192e-4de7-b004-4a70146eca56.jpg Province du Canada, 1841-1867
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    Purges dans le service public canadien pendant la guerre froide : le cas des personnes LGBTQ

    Entre les années 1950 et 1990, le gouvernement canadien réagit aux inquiétudes en matière de sécurité nationale générées par les tensions avec l’Union soviétique durant la Guerre froide en espionnant et en dénonçant les personnes suspectées d’appartenir à la communauté LGBTQ et en les éliminant de la fonction publique fédérale. Ces personnes sont présentées comme étant subversives sur les plans social et politique et sont considérées comme des cibles potentielles d’un chantage que pourraient exercer les régimes communistes pour obtenir des renseignements classifiés. Le gouvernement justifie cette stigmatisation en expliquant que les personnes entretenant des relations amoureuses avec des personnes du même sexe souffrent d’une « faiblesse de caractère » et ont nécessairement quelque chose à cacher du fait de leur orientation sexuelle, cette dernière étant non seulement considérée comme un tabou, mais, également, dans certains cas, comme illégale. Dans ce cadre, la GRC mène des enquêtes sur de nombreuses personnes. Plusieurs d’entre elles étant licenciées, rétrogradées ou forcées de démissionner, et ce, même si elles n’ont aucun accès à des renseignements de sécurité. Ces mesures sont prises sans que le public en ait connaissance afin de prévenir les scandales et de garder le secret sur les opérations de contre‑espionnage. En 2017, le gouvernement fédéral présente des excuses officielles pour ses actions et politiques discriminatoires, ainsi qu’un plan de mesures d’indemnisation de 145 millions de dollars.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/24561e5f-6a40-423a-aae3-8324fa0b339e.jpg Purges dans le service public canadien pendant la guerre froide : le cas des personnes LGBTQ
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    Purges dans les Forces armées canadiennes pendant la Guerre froide : le cas des personnes LGBTQ

    Pour la majorité de son histoire, l’armée canadienne applique une politique de punition ou d’expulsion des personnes LGBTQ dans ses rangs. Pendant la Guerre froide, les forces armées font plus d’efforts pour repérer et exclure les personnes homosexuelles en raison d’inquiétudes liées au chantage et à la sécurité nationale. En 1992, une contestation judiciaire mène à l’abolition de cette pratique discriminatoire. Le gouvernement fédéral présente officiellement ses excuses en 2017.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/new_article_images/MichelleDouglas2Image for guide.jpg Purges dans les Forces armées canadiennes pendant la Guerre froide : le cas des personnes LGBTQ
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    Anglo-Québécois

    Les Anglo-Québécois (communautés québécoises d’expression anglaise) sont une minorité linguistique comprenant des gens de diverses origines ethniques, religieuses et socio-économiques. Ces communautés présentent aussi d’importantes particularités régionales. La présence d’anglophones sur le territoire actuel du Québecremonte au Régime français, mais des communautés ne se développent véritablement qu’après laConquêtebritannique. La proportion d’anglophones augmente dans les années avant la Confédération, puis décline graduellement, particulièrement dans les régions à l’extérieur deMontréal.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/0dff2beb-2eb0-417d-85cf-2760a0f94e09.jpg Anglo-Québécois
  • Article

    Racisme

    Le racisme est une croyance selon laquelle les humains peuvent être divisés suivant une hiérarchie du pouvoir en fonction de leurs différences de race et d’ethnicité. Ainsi, certains groupes sont vus comme supérieurs à d’autres uniquement en raison de caractéristiques raciales ou ethniques. Le racisme est souvent exprimé sous forme de préjugés ou de discrimination. Cette croyance peut être manifestée par des individus, mais aussi par des sociétés ou des institutions.

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  • Macleans

    RCMP Drug Operation Claims Lives

    Cet article a été initialement publié dans le magazine Macleans (31/03/1997)

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    https://www.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9 RCMP Drug Operation Claims Lives
  • Article

    Résistance de la rivière Rouge

    La Résistance de la rivière Rouge (aussi appelée Rébellion de la rivière Rouge) est un soulèvement violent ayant eu lieu de 1869 à 1870 dans la colonie de la rivière Rouge. Elle est déclenchée par le transfert du vaste territoire appelé « Terre de Rupert » au nouveau Dominion du Canada. La colonie, composée de fermiers et de chasseurs, dont la plupart sont Métis, occupe un coin de la Terre de Rupert et craint l’effet du contrôle canadien sur sa culture et ses droits fonciers. Les Métis fomentent une résistance et forment un gouvernement provisoire afin de négocier les conditions d’entrée du territoire dans la Confédération. La résistance mène à la création de la province du Manitoba et à l’émergence du chef métis Louis Riel. Héros aux yeux de son peuple et de nombreux Québécois, il est toutefois considéré comme un hors-la-loi par le gouvernement fédéral.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/f0a1f84f-c420-4038-8815-42587e295b75.jpg Résistance de la rivière Rouge
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    Rébellion du Bas-Canada (La guerre des patriotes)

    En 1837 et en 1838, des rebelles canadiens-français au Bas-Canada ont pris les armes contre la Couronne britannique au cours de deux soulèvements sanglants. Ces deux rébellions causent la mort de plus de 300 personnes et font suite à des années de tensions entre la minorité anglophone et les aspirations nationalistes grandissantes de la majorité francophone. La campagne des rebelles contre le régime britannique est un échec, mais leur révolte a précipité la réforme politique, y compris la création de la Province unie du Canada et l’adoption d’un gouvernement responsable. La rébellion du Bas-Canada, également connue sous le nom de la guerre des patriotes, a également donné aux Canadiens français l'un de leurs premiers héros nationalistes à Louis-Joseph Papineau.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/37aadc48-3f88-4946-a9aa-0d2ad30495cd.jpg Rébellion du Bas-Canada (La guerre des patriotes)