Histoire | l'Encyclopédie Canadienne

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  • Article

    Commission Massey

    La Commission Massey, de son nom officiel la Commission royale d’enquête sur l’avancement des arts, des lettres et des sciences, est établie par le premier ministre Louis St-Laurent le 8 avril 1949. Sous la présidence de Vincent Massey, la commission avait pour but d’enquêter sur l’état des arts et de la culture au Canada. Il a présenté son rapport, le rapport Massey, le 1er juin 1951. Le rapport prône le financement, par le gouvernement fédéral, d’un large éventail d’activités culturelles. Il fait aussi une série de recommandations qui contribue à la création de la Bibliothèque nationale du Canada (aujourd’hui Bibliothèque et Archives Canada) et du Conseil des arts du Canada, ainsi qu’à de l’aide de l’État aux universités et à des projets de conservation de lieux historiques, entre autres. Les recommandations du rapport Massey, adoptées par le gouvernement fédéral, sont perçues en général comme le premier grand pas fait pour soutenir, préserver et promouvoir la culture canadienne.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/6dc56c29-5a10-4fff-ad08-000dc347c1e4.jpg Commission Massey
  • Éditorial

    La Compagnie du Nord-Ouest, 1779–1821

    L'article suivant est un éditorial rédigé par le personnel de l'Encyclopédie canadienne. Ces articles ne sont pas généralement mis à jour. Dès les débuts de la Nouvelle-France, la traite des fourrures a été le poumon économique du Canada.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/d98defdb-a170-4723-bafb-23ba5d5bf8dd.jpg La Compagnie du Nord-Ouest, 1779–1821
  • Article

    La Concession de la Couronne aux Mohawks de la baie de Quinte

    La Concession de la Couronne aux Mohawks de la baie de Quinte, également connue comme le Traité no 3 ½ ou l’Acte de Simcoe, date de 1793. (Voir aussi Haudenosaunee et Tyendinaga Mohawk Territory.) Dix ans auparavant, les Britanniques avaient acquis un grand territoire par l’Achat de Crawford. Par la concession, ils ont accordé une petite partie de ce territoire aux Mohawks pour avoir soutenu la Couronne pendant la Révolution américaine. Au fil du temps, la taille de la concession s’est vue réduite en raison de la présence croissante d’occupants non autochtones. La propriété de ce territoire demeure contestée. (Voir aussi Traités autochtones au Canada et Les cessions de terres du Haut-Canada.)

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/new_article_images/Tyendinaga/LandingOfTheMohawks.jpg La Concession de la Couronne aux Mohawks de la baie de Quinte
  • Article

    La crise des années 1930 au Canada (résumé en langage simple)

    Durant les années 1930, la Grande Dépression sévit au Canada et dans le monde entier. Le terme « dépression » est employé pour décrire un déclin économique qui s’étend sur une longue période. Au pire de cette crise économique, quelque 30 % de la population canadienne se retrouvent sans emploi. Leurs conditions de vie deviennent alors nettement plus difficiles, car les programmes sociaux canadiens sont à l’époque peu nombreux. La situation change avec la crise économique. Pour aider les personnes dans le besoin, le gouvernement met sur pied des programmes sociaux au cours des années 1930, en plus d’intervenir davantage dans l’économie du pays. (Cet article est un résumé en langage simple sur la crise des années 1930 au Canada). Si vous souhaitez approfondir le sujet, veuillez consulter notre article intégral, intitulé La crise des années 1930 au Canada.)

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/cc8df85f-c925-4f6f-91e1-7403bcb85345.jpg La crise des années 1930 au Canada (résumé en langage simple)
  • Article

    Crise d'Ipperwash

    La crise d’Ipperwash a éclaté en 1995, en Ontario, dans le parc provincial d’Ipperwash et les environs, un territoire revendiqué par la Première Nation de Kettle Point et Stony Point. Les antécédents de la crise remontent à l’appropriation de la réserve de Stoney Point par le gouvernement fédéral en 1942 pour en faire une base militaire. Après des demandes répétées pour récupérer ces terres, les membres de cette Première Nation ont occupé le camp en 1993, puis en 1995. Le 4 septembre de cette année-là, les protestataires ont également occupé le parc provincial d’Ipperwash, situé à côté. La tension a monté entre les protestataires et la Police provinciale de l’Ontario, culminant dans une confrontation, le 6 septembre 1995, qui a coûté la vie à Dudley George, un manifestant ojibwé.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/bcf04d96-a331-4532-bed5-98ee62f4034e.jpg Crise d'Ipperwash
  • Article

    La résistance de Kanesatake (la crise d’Oka)

    La résistance de Kanesatake, connue aussi sous le nom de crise d’Oka ou de « résistance mohawk à Kanesatake », a vu des manifestants kanyen’kehà:ka (mohawks) affronter, pendant 78 jours, du 11 juillet au 26 septembre 1990, la police du Québec, la GRC et l’armée canadienne. Elle s’est déroulée sur le territoire de la collectivité de Kanesatake, près de la ville d’Oka, sur la rive nord de Montréal. Des manifestations et des violences connexes se sont produites sur la réserve de Kahnawake, au sud de Montréal. La crise a été déclenchée par un projet d’expansion d’un terrain de golf et de construction de maisons en rangée, sur des terres faisant l’objet d’un litige, à Kanesatake, sur lesquelles se trouvait, notamment, un cimetière kanyen’kehà:ka. Les tensions ont été vives, notamment après le décès du caporal Marcel Lemay, un policier de la Sûreté du Québec. Finalement, l’armée a été sollicitée et les manifestations de protestation ont pris fin. L’agrandissement du terrain de golf a été annulé et les terres ont été acquises par le gouvernement fédéral. Cependant, elles n’ont pas été établies en tant que réserve, et n’ont toujours pas fait l’objet d’un transfert officiel aux Mohawks de Kanesatake. Ce texte est l’article intégral sur la résistance de Kanesatake (la crise d’Oka). Si vous souhaitez lire un résumé en langage simple, veuillez consulter l’article La résistance de Kanesatake (la crise d’Oka) (résumé en langage simple).

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/new_article_images/OkaCrisis/1990_C_35_7 (003).jpg La résistance de Kanesatake (la crise d’Oka)
  • Article

    Tempête de verglas de 1998

    La tempête de verglas de 1998 est l’une des plus grandes catastrophes naturelles dans l’histoire canadienne. Entre le 4 et le 10 janvier 1998, certaines zones de la vallée du Saint-Laurent depuis Kingston jusqu’aux Cantons de l’Est du Québec reçoivent jusqu’à 100 mm de granules de glace et de pluie verglaçante, ce qui représente plus que le double de la précipitation glacée annuelle normale de ces régions. La tempête cause jusqu’à 35 morts et 945 blessures, en plus que d’occasionner le déplacement temporaire de 600 000 personnes. Plusieurs routes sont fermées et des pannes d’électricité majeures se produisent, coupant le courant de presque 1,4 million de clients au Québec et plus de 230 000 dans l’est de l’Ontario. Le coût financier total de la tempête est d’environ 5,4 milliards de dollars.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/50883f65-a6e7-4f26-9c7b-ffd9ab7625ee.jpg Tempête de verglas de 1998
  • Article

    La déclaration canadienne des droits

    La Déclaration canadienne des droits a été la première loi fédérale du pays à protéger les droits de la personne et les libertés fondamentales. Elle est considérée comme révolutionnaire lorsqu’elle est promulguée par le gouvernement de John Diefenbaker en 1960. Cependant, elle s’avère trop limitée et inefficace, principalement parce qu’elle ne s’applique qu’aux lois fédérales et non aux lois provinciales. De nombreux juges la considèrent comme une simple aide à l’interprétation. La Déclaration est citée dans 35 affaires entre 1960 et 1982, dont 30sont rejetées par les tribunaux. Bien qu’elle soit toujours en vigueur, la Déclaration des droits a été remplacée par la Charte canadienne des droits et libertés en 1982.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/eb737d9a-742e-418d-af4d-07440f789c20.jpg La déclaration canadienne des droits
  • Éditorial

    Le Statut de Westminster : la déclaration d'indépendance du Canada

    L'article suivant est un éditorial rédigé par le personnel de l'Encyclopédie canadienne. Ces articles ne sont pas généralement mis à jour. À l’automne de 1929, Ernest Lapointe, le ministre canadien de la Justice, se rend en Angleterre. Il est accompagné du Dr Oscar Skelton « plus important haut-fonctionnaire du pays » comme l’a autrefois autrefois décrit William Lyon Mackenzie King. Lorsque Ernest Lapointe et Oscar Skelton mettent fin à leurs négociations, ils confirment que le Canada deviendrait indépendant de l’Empire britannique.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/43cb3921-bb9b-4a07-818d-0f1dfeb80b26.jpg Le Statut de Westminster : la déclaration d'indépendance du Canada
  • Éditorial

    Éditorial : John Humphrey, Eleanor Roosevelt et la Déclaration universelle des droits de l'homme

    L'article suivant est un éditorial rédigé par le personnel de l'Encyclopédie canadienne. Ces articles ne sont pas généralement mis à jour. En 1946, John Humphrey devient directeur de la Division des droits de l’homme des Nations Unies et Eleanor Roosevelt est nommée représentante des États-Unis à la Commission des droits de l’homme de l’ONU. M. Humphrey était alors un obscur professeur de droit canadien, tandis que Mme Roosevelt était la femme la plus célèbre du monde. Pendant deux ans, ils collaboreront à la rédaction de l’un des documents les plus importants de l’histoire du monde moderne : la Déclaration universelle des droits de l’homme, ratifiée le 10 décembre 1948.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/6afcc1db-4a9a-4e2f-9a50-ad1981f54caf.jpg Éditorial : John Humphrey, Eleanor Roosevelt et la Déclaration universelle des droits de l'homme
  • Éditorial

    Déportation des Acadiens (le Grand dérangement)

    Des soldats rassemblent des civils terrifiés, les expulsent de leurs terres, brûlent leurs maisons et leurs cultures... Cette scène cauchemardesque, qui pourrait se dérouler au 21e siècle dans une des régions troublées du monde, décrit plutôt un événement qui a eu lieu aux premiers temps de l'histoire canadienne : la déportation des Acadiens.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/Acadian still.png Déportation des Acadiens (le Grand dérangement)
  • Article

    Distribution de films au Canada

    La distribution de films est l’une des trois principales branches de l’industrie cinématographique. Elle a pour mission d’assurer le lien entre la production et l’exploitation. De ces trois secteurs, la distribution est celle qui est le plus rentable et est contrôlée par d’importants conglomérats multinationaux. Les distributeurs fournissent des films, des émissions de télévision, des vidéos et de nouveaux médias à différents points de diffusion, comme les cinémas et les radiotélédiffuseurs. Ceci est effectué sur des territoires où ils ont acquis les droits auprès des producteurs. Ils représentent traditionnellement la principale source de financement des nouvelles productions. Le secteur de distribution est surnommé le « secteur invisible ». Ses pratiques ont tendance à ne concerner que les initiés de l’industrie et passent inaperçues auprès du public. Les entreprises américaines dominent la distribution de films au Canada. Elles contrôlent l’accès aux écrans canadiens depuis les années 1920. (voir aussi Histoire du cinéma canadien)

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/d10595af-11b7-4974-94a8-9187ef18aa77.jpg Distribution de films au Canada
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    Documentation de la Première Guerre mondiale

    La Première Guerre mondiale a changé le Canada pour toujours. Durant un peu plus de quatre ans, quelque 630 000 Canadiens, sur une population totale qui n’atteint pas encore 8 millions de personnes, partent au combat. Plus de 66 000 d’entre eux sont tués. Alors que les victimes se multiplient sur le front de l’Ouest, c’est à un expatrié canadien, sir Max Aitken (Lord Beaverbrook), qu’il incombe de documenter l’effort de guerre du Canada dans le cadre d’un programme d’art, de photographies et de films de guerre. Par ailleurs, la collection d’œuvres de guerre, créée à titre officiel ou officieusement par les soldats eux-mêmes, constitue un autre moyen de maintenir vivant le témoignage de l’effort de guerre du Canada dans le conflit.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/df0d7820-063b-443b-b82a-f67dad7deea0.jpg Documentation de la Première Guerre mondiale
  • Article

    La goélette de pêche Nancy et la guerre de 1812

    Le Nancy était une goélette de pêche construite en 1780 dans le port de Detroit alors britannique, par une entreprise de construction navale de Montréal, sous la direction de John Richardson (dont l'épouse et la fille se prénommaient toutes deux Nancy).

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    https://www.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9 La goélette de pêche Nancy et la guerre de 1812
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    La guerre dans les airs

    Les avions sont devenus un élément important de la guerre moderne pendant la Première Guerre mondiale (1914-1918). La technologie de l’aviation s’est développée rapidement et, à la fin de la guerre, les avions étaient utilisés pour la reconnaissance, le repérage d’artillerie, le combat aérien, le mitraillage de cibles au sol, la lutte anti-sous-marine, le bombardement tactique et stratégique et la défense nationale. Plus de 20 000 Canadiens ont servi dans les services aériens britanniques (Royal Flying Corps, Royal Naval Air Service et Royal Air Force) pendant la guerre. Environ 1400 d’entre eux ont été tués ou ont succombé à des blessures ou à des accidents. Le Canada n’avait pas d’armée de l’air pendant la Première Guerre mondiale; un corps d’aviation canadien à un seul avion a été créé en 1914, mais il n’a jamais été utilisé et a été rapidement dissous. Plus tard, le 5 août 1918, deux escadrons de l’Aviation canadienne ont été formés en Grande-Bretagne, mais ils ont été dissous l’année suivante lorsque les Britanniques ont coupé le financement. Le Service aéronaval royal canadien a été formé en septembre 1918, mais n’a duré que trois mois avant la fin de la guerre. Le Canada ne disposera pas d’une force aérienne permanente avant 1924. (Voir Aviation royale du Canada.)« Les avions sont une invention du diable et ils ne joueront jamais aucun rôle dans un domaine aussi sérieux que la défense d’une nation… », tonne Sam Hughes, ministre de la Milice et de la Défense, au début de la Première Guerre mondiale. Hughes n’est pas le seul à ne pas faire confiance à l’aviation. Si les principales puissances d’Europe occidentale – la Grande-Bretagne, la France et l’Allemagne – ont toutes étudié la façon dont l’aviation pourrait être employée en temps de guerre et disposent de petites forces aériennes, le rôle militaire que doivent jouer les avions demeure très incertain en août 1914, au moment où la guerre éclate. Tout au long de la Grande Guerre, les avions vont connaître des évolutions technologiques majeures et changer pour toujours la nature de l’art de la guerre.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/f864cf51-65b5-4803-85a1-a7908ffdc0aa.jpg La guerre dans les airs

Concours du Jour du drapeau!

Célébrez le 60e anniversaire du drapeau national en répondant à notre jeu-questionnaire sur le Jour du drapeau et soyez inscrit à un tirage au sort pour avoir une chance de gagner un drapeau de la Tour de la Paix à Ottawa pour votre école!

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