Histoire | l'Encyclopédie Canadienne

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  • Article

    Certificats des Métis

    Le certificat désigne tout document utilisé comme cours légal, par exemple un coupon, avec lequel le détenteur peut revendiquer certains droits. En 1870, le gouvernement canadien met en place un système de certificats (appelés scrip en anglais) qui délivre des documents échangeables contre de l’argent ou des terres. Les certificats sont donnés au peuple métis vivant dans l’Ouest canadien en échange de leurs droits territoriaux. Légalement, le processus de certificats est complexe et désorganisé, ce qui complique l’acquisition de terres par les Métis tout en facilitant la fraude. En mars 2013, la Cour suprême du Canada statue que le gouvernement fédéral n’a pas octroyé aux Métis les terres qui leur étaient promises en vertu de la Loi de 1870 sur le Manitoba. À ce jour, les négociations entre les différentes instances gouvernementales et la nation métisse concernant ces revendications territoriales se poursuivent.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/00019b96-4c2b-4fb8-9d1b-58ccf46ec3ae.jpg Certificats des Métis
  • Article

    Chaîne d'alliance

    La chaîne d’alliance est le nom donné au système complexe d’alliances entre les Haudenosaunee (aussi appelés les Six Nations ou la Ligue des Iroquois) et les colonies anglo-américaines au début du 17e siècle. On estime que les premières alliances ont sans doute eu lieu entre New York et les Kanyen'kehà:ka (Mohawks). Les premières ententes du genre sont métaphoriquement appelées chaînes parce qu’elles lient plusieurs partis entre eux. Aujourd’hui, la chaîne d’alliance représente la longue tradition de relations diplomatiques en Amérique du Nord et est souvent invoquée dans le débat contemporain sur les affaires entre l’État et les peuples autochtones. (Voir aussi Traités autochtones au Canada.)

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/122dc04b-d0a1-4551-a912-1bee8991746b.jpg Chaîne d'alliance
  • Éditorial

    Samuel de Champlain et la fondation de Québec

    L'article suivant est un éditorial rédigé par le personnel de l'Encyclopédie canadienne. Ces articles ne sont pas généralement mis à jour.

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    https://www.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9 Samuel de Champlain et la fondation de Québec
  • Article

    Champlain Society

    La Champlain Society est fondée à Toronto en 1905 par sir Edmund Walker en vue de sensibiliser le public à la riche collection de dossiers historiques du Canada ainsi que d'augmenter son accessibilité. Le nombre de membres, d'abord limité à 250, est aujourd'hui d'environ 800.

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    https://www.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9 Champlain Society
  • Éditorial

    Éditorial : La conférence de Charlottetown de 1864 et le pouvoir de persuasion du champagne

    L'article suivant est un éditorial rédigé par le personnel de l'Encyclopédie canadienne. Ces articles ne sont pas généralement mis à jour. Le lundi 29 août 1864, huit des douze membres du Cabinet de la Province du Canada s’embarquent sur le vapeurQueen Victoria, à Québec. Ils ont entendu dire que des représentants de la Nouvelle-Écosse, du Nouveau-Brunswick et de l’Île-du-Prince-Édouard doivent se rencontrer à Charlottetown pour discuter d’une éventuelle union des colonies et ils ont bien l’intention de s’y inviter à la « fête » (voir Conférence de Charlottetown). Leurs gouvernements sont dans une impasse et même de vieux ennemis comme John A. Macdonald et George Brown s’entendent pour dire que quelques nouveaux accords politiques sont nécessaires. Alors que leQueen Victoriaprogresse lentement dans le golfe du Saint-Laurent, les Canadiens préparent frénétiquement leurs arguments.

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    https://www.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9 Éditorial : La conférence de Charlottetown de 1864 et le pouvoir de persuasion du champagne
  • Macleans

    Charlottetown Bombing (en anglais seulement)

    Cet article provient du magazine Maclean’s. Il est uniquement disponible en anglais.Cet article a été initialement publié dans le magazine Macleans (01/05/1995)

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    https://www.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9 Charlottetown Bombing (en anglais seulement)
  • Article

    Charrette de la rivière Rouge

    La charrette de la rivière Rouge était un moyen de transport utilisé par les Métis des Prairies pendant la colonisation de l’Ouest, du milieu à la fin du 19e siècle, pour transporter des charges sur de longues distances. Le nom de la charrette vient de la rivière Rouge, aux abords de laquelle la colonie de la rivière Rouge (1812-1870), habitée principalement par des Métis, a été établie. Les Métis avaient leurs propres mots en mitchif pour désigner la charrette, notamment aen wagon et aen charet.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/RedRiverCart/RedRiverCart1.jpg Charrette de la rivière Rouge
  • Article

    Charte de la forêt

    La Charte de la forêt de 1217 (Carta de Foresta) est un document d'accompagnement de la Magna Carta de 1215.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/12f085dc-bd2e-4629-b64e-74e579809d83.jpg Charte de la forêt
  • Article

    Château, clique du

    En tant que méc\u00e8ne, le puissant marchand de fourrures James McGill met sa richesse au service des institutions de Montréal, notamment de l'université qui porte son nom (avec la permission de la Metropolitan Toronto Reference Library/T14908).Château, clique du Clique du Château est le surnom donné à un petit groupe de dirigeants, en général des membres de la communauté marchande anglophone, y compris John MOLSON et James MCGILL, qui a dominé les conseils exécutif et législatif...

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/ae171a3d-7542-4745-8013-b08068bf08e5.jpg Château, clique du
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    Château Frontenac

    Construit par le Canadien Pacifique à partir de 1892, selon les plans de l’architecte Bruce Price, le Château Frontenac est un excellent exemple des hôtels de style château développés par les compagnies ferroviaires au Canada. Situé dans l’arrondissement historique du Vieux-Québec, il a été désigné lieu historique national du Canada en 1981.

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  • Article

    Château Lake Louise

    Château Lake Louise est un centre de villégiature de renommée internationale et un site du patrimoine mondial des Nations Unies situé dans le parc national de Banff, en Alberta. Connu comme le « diamant en terre sauvage », le Château a été construit à la fin des années 1800 et exploité à titre d’établissement du réseau d’hôtels du Canadien Pacifique (CP). Il s’inscrit parfaitement dans la lignée de l’hôtel Banff Springs, du Château Frontenac, à Québec, et de l’hôtel Empress, à Victoria. En raison de son emplacement isolé et de son envergure, le Château Lake Louise a largement contribué au développement de l’Ouest canadien.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/fd1b73ac-b324-4388-a19b-a3de2c9da995.jpg Château Lake Louise
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    Chemin de fer clandestin

    Le chemin de fer clandestin était un réseau secret d’abolitionnistes (des gens qui voulaient abolir l’esclavage). Ceux-ci aidaient les Afro-Américains à échapper à l’esclavage du Sud des États-Unis vers les États libres du Nord ou au Canada. Le chemin de fer clandestin était le plus important mouvement anti-esclavagiste pour la liberté d’Amérique du Nord. Entre 30 000 à 40 000 fugitifs ont trouvé refuge en Amérique du Nord britannique (maintenant le Canada).Ce texte est l’article complet sur le Chemin de fer clandestin. Si vous souhaitez en lire un résumé en termes simples, veuillez consulter : Chemin de fer clandestin (résumé en termes simples).

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/62778b7a-e28f-4fe4-96c6-ec4011ee3af2.jpg Chemin de fer clandestin
  • Article

    Chesapeake, affaire du

    Le 7 décembre 1863, durant la GUERRE CIVILE AMÉRICAINE, 16 Confédérés s'emparent, au large de Cape Cod, du Chesapeake, un bateau à vapeur côtier américain, et le détournent vers Saint-Jean (Nouveau-Brunswick).

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    https://www.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9 Chesapeake, affaire du
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    Taxe d’entrée imposée aux immigrants chinois au Canada

    La taxe d’entrée aux immigrants chinois est promulguée pour limiter l’immigration lorsque la main-d’œuvre chinoise n’est plus nécessaire pour construire le chemin de fer du Canadien Pacifique. Entre 1885 et 1923, les immigrants chinois ont dû payer une taxe d’entrée pour entrer au Canada. La taxe est imposée en vertu de la Loi de l’immigration chinoise de 1885. Il s’agit de la première loi dans l’histoire canadienne à exclure l’immigration sur la base de l’identité ethnique. À quelques exceptions près, les Chinois devaient payer une somme d’au moins 50 $ pour venir s’installer au Canada. La taxe est plus tard portée à 100 $, puis à 500 $. Durant ses quelque 38 ans d’existence, environ 82 000 immigrants chinois ont ainsi payé près de 23 millions de dollars en taxes. La taxe imposée aux immigrants chinois est supprimée avec l’adoption de la Loi de l’immigration chinoise de 1923. Aussi appelée Loi d’exclusion des Chinois, elle interdit l’entrée des immigrants chinois jusqu’en 1947. En 2006, le gouvernement fédéral a formulé des excuses officielles pour cette loi et ses autres politiques racistes envers la population chinoise. Ceci est l'article complet sur la taxe d'entrée imposée aux personnes immigrantes d'origine chinoise. Si vous souhaitez lire un résumé en langage simple, veuillez consulter : Taxe d’entrée imposée aux personnes immigrantes d'origine chinoise au Canada (résumé en langage simple).

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/876dbb1e-74e3-4cfe-b961-a6d31d296fd6.jpg Taxe d’entrée imposée aux immigrants chinois au Canada
  • Article

    Loi de l’immigration chinoise

    La Loi de l’immigration chinoise de 1923, connue aussi comme la loi sur l’exclusion des Chinois, interdit pendant 24 ans l’arrivée de pratiquement tous les immigrants chinois. Bien que l’immigration provenant de la plupart des pays soit alors contrôlée ou limitée d’une façon ou d’une autre, seuls les Chinois sont totalement interdits d’entrée selon des critères raciaux. Seules quatre exceptions à l’exclusion sont prévues : les étudiants, les commerçants (hormis ceux travaillant dans les blanchisseries, les restaurants et les commerces de vente au détail), les diplomates et les Chinois nés au Canada qui reviennent après avoir étudié en Chine. Les Canadiens d’origine chinoise ne peuvent pas s’absenter du Canada pendant plus de deux ans, sans quoi ils peuvent se voir interdits d’entrée. En outre, toute personne d’origine chinoise, qu’elle soit née au Canada ou naturalisée, doit s’enregistrer et obtenir une carte d’identité dans les 12 mois. Ceux qui omettent de le faire sont passibles d’emprisonnement ou d’une amende pouvant atteindre 500 $. Bien que la loi soit abrogée en 1947, les restrictions en matière d’immigration basées sur la race et l’origine nationale ne sont entièrement levées qu’en 1967.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/d0c5f1d6-6030-4a96-900c-3efed6463116.jpg Loi de l’immigration chinoise

Concours du Jour du drapeau!

Célébrez le 60e anniversaire du drapeau national en répondant à notre jeu-questionnaire sur le Jour du drapeau et soyez inscrit à un tirage au sort pour avoir une chance de gagner un drapeau de la Tour de la Paix à Ottawa pour votre école!

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