Peuples autochtones | l'Encyclopédie Canadienne

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    Organisation politique des Autochtones et activisme au Canada

    Depuis la fin du 19e siècle, l’activisme politique des Autochtones au Canada se manifeste surtout par la création d’associations politiques qui débordent du cadre de la bande pour défendre leurs intérêts communs. Dans le sillage des critiques persistantes de la politique exposée en 1969 dans le « Livre blanc » du gouvernement fédéral, d’importantes organisations autochtones, notamment l’Assemblée des Premières Nations, sont dorénavant reconnues sur la scène politique et deviennent des acteurs incontournables au niveau national. Ces organisations sont rejointes en 2012 par le mouvement national Idle No More. Le présent article décrit les organisations politiques autochtones en tant qu’organismes fédéraux, provinciaux et territoriaux canadiens. Il n’aborde pas la structure politique des communautés autochtones, qui s’est souvent construite avant les premières interactions avec les Européens et l’infrastructure coloniale qui en a résulté.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/73c1f655-bfcc-4aa6-9251-c0d5c550fde4.jpg Organisation politique des Autochtones et activisme au Canada
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    Odawas

    Les Odawas (ou Outaouais) sont un peuple de langue algonquienne (voir Langues autochtones au Canada) vivant au nord du territoire des Hurons-Wendats à l’époque de l’arrivée des Français dans la région en amont des Grands Lacs. Selon une tradition des Odawas, que partagent les Ojibwés et les Potawatomis, ces trois groupes formaient jadis un seul peuple. La division des Algonquiens de la région supérieure des Grands Lacs semble s’être faite à Michilimackinac, point de rencontre des lacs Huron et Michigan. Les Odawas, ou «les traiteurs», demeurent près de Michilimackinac, tandis que les Potawatomis, «ceux qui font ou entretiennent un feu», vont vers le sud en remontant le lac Michigan et que les Ojibwés, ou «rôti à en être plissé», vont vers Sault Ste. Marie, au nord-ouest.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/7f43d674-3179-4006-afce-5521ddca5b0a.jpg Odawas
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    Outaouais

    Les Outaouais (ou Odawas), sont un peuple de langue algonquienne vivant au nord du territoire des HURONS à l'époque de l'arrivée des Français dans la région en amont des Grands Lacs.

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    https://www.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9 Outaouais
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    Pacheenahts

    Les Pacheenahts ou Pacheedahts (« gens de l'écume-de-mer-sur-les-roches ») tirent leur nom du lieu de l'ancien village « p'aachiida », au fond de la baie de Port San Juan, dans le Sud-Ouest de l'île de Vancouver.

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    https://www.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9 Pacheenahts
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    Peter Bostonais Pangman

    Peter (ou Pierre) Bostonais Pangman, chef métis, chasseur de bison (né le 20 octobre 1791 dans la région de la vallée de la rivière Saskatchewan Nord, aujourd’hui en Alberta; décédé le 4 mars 1850 à St. François Xavier, aujourd’hui au Manitoba). Peter Bostonais Pangman est un habile chasseur qui aide à approvisionner en viande de bison la colonie de la rivière Rouge. Il joue un rôle actif dans les guerres du pemmican et les événements entourant la bataille de la Grenouillère. Dans le cadre de la traite des fourrures à Pembina, Peter Bostonais Pangman est un personnage central qui rallie et inspire les Métis de la vallée de la rivière Rouge à se percevoir et à s’exprimer avec une identité distincte des peuples autochtones voisins. Le nom Bostonais s’écrit aussi Bastonnais et Bostonnais.

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    https://www.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9 Peter Bostonais Pangman
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    Paysage culturel autochtone

    Le savoir traditionnel constitue la meilleure façon d'identifier les paysages culturels autochtones. Une tradition orale et des pratiques traditionnelles continues maintiennent l'interaction entre les gens et le territoire.

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    https://www.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9 Paysage culturel autochtone
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    Francis Pegahmagabow

    Francis « Peggy » Pegahmagabow, chef anichinabé (ojibwé), défenseur des droits autochtones, héros de guerre (né le 9 mars 1891 dans la réserve de Parry Island, en Ontario; décédé le 5 août 1952 à Parry Island, en Ontario). L’une des personnes autochtones les plus décorées au Canada pendant la Première Guerre mondiale, Francis Pegahmagabow devient défenseur ardent des droits autochtones et de l’autodétermination (Voir aussi Les peuples autochtones et les guerres mondiales.)

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/Francis Pegahmagabow (2).jpg Francis Pegahmagabow
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    Peguis

    Peguis, chef des Saulteaux (né en 1774 près de Sault Ste. Marie, en Ontario; décédé le 28 septembre 1864 à la colonie de la rivière Rouge, au Manitoba). Le chef Peguis était un éminent dirigeant de son propre peuple, et il est reconnu pour avoir signé un traité avec Lord Selkirk permettant aux colons européens de s’installer dans ce qui est maintenant le sud du Manitoba. De plus, Peguis et son peuple ont aidé les colons de Lord Selkirk à s’installer dans la colonie nouvellement formée.

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    Piikani

    Les Piikani (aussi connus sous les noms Piikuni et Peigans) sont l’une des trois nations de la Confédération des Pieds‑Noirs. (Les deux autres sont les Siksikas et les Kainai.) Ils occupaient autrefois un vaste territoire de chasse qui s’étendait le long de contreforts, depuis Rocky Mountain House jusqu’à Heart Butte au Montana et vers l’est sur les Plaines. Selon le gouvernement fédéral, on dénombre 3 884 membres inscrits vivant et travaillant soit dans leur réserve située à proximité de Pincher Creek en Alberta, soit à l’extérieur.

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    Traités Pennefather

    Durant l’été 1859, le surintendant général des Affaires indiennes Richard T. Pennefather a signé trois traités distincts mais essentiellement identiques avec la Première Nation de Batchewana (Traité 91[A]), la Première Nation de Garden River (Traité 91[B]) et la Première Nation de Thessalon (Traité 91[C]). Les trois traités font partie d’une série de cessions territoriales qui ont lieu après les traités Robinson de 1850. Les traités Pennefather ont ouvert des acres supplémentaires à la colonisation et à l’exploitation des ressources. (Voir aussi Traités avec les peuples autochtones au Canada.)

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/new_article_images/Nebenaigoching/Chippewa_Indian_Chiefs_At_Montreal_1849_image.jpg Traités Pennefather
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    Perspectives autochtones sur la traite des fourrures

    Les peuples autochtones au Canada ont joué un rôle essentiel dans la traite des fourrures du début du 17e siècle au milieu du 19e siècle. Ils fournissaient des fourrures d’animaux, dont les très recherchées peaux de castor, aux commerçants européens qui, à leur tour, leur offraient des articles manufacturés tels que des récipients de cuisson, des perles, des textiles et des armes. Bien que certains historiens aient par le passé présenté la traite des fourrures comme un échange commercial essentiellement inégal, elle était menée selon les coutumes et principes des Premières Nations, et a permis de créer des liens très proches avec des étrangers et parfois même de transformer des ennemis en alliés. Lorsque les commerçants européens arrivent en Amérique du Nord, ils entrent dans un territoire autochtone, où les conditions sont fixées par les Autochtones, et ne réalisent leurs déplacements et leur commerce qu’avec la coopération et la bonne volonté des Premières Nations. Les peuples autochtones enseignent aux nouveaux arrivants européens les comportements à adopter dans la traite de la fourrure, en soulignant l’importance des cadeaux, de la réciprocité et des obligations familiales. Du point de vue autochtone, la traite des fourrures est donc autant une affaire de famille, de coopération et de réciprocité qu’une activité commerciale et d’échange.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/IPFurTrade.jpg Perspectives autochtones sur la traite des fourrures
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    Tionontati (Pétuns)

    Les Tionontati (aussi appelés Pétuns) sont un peuple autochtone de langue iroquoienne très proche des Hurons-Wendats. Les Français les appelaient Pétuns parce qu’ils cultivaient le tabac, ou petún, mais ils s’appelaient eux-mêmes Tionontatis. Après la guerre contre les Haudenosaunee au milieu des années 1600, les Tionontati et d’autres survivants, comme les Attignawantan (un peuple huron-wendat) et les Wenrohronon (ou Wenro), se rassemblent pour former les Wendat, aujourd’hui appelés Nation Wyandotte (ou Wyandot). De nos jours, la Nation Wyandotte est une tribu reconnue par le gouvernement fédéral de l’Oklahoma aux États-Unis. On retrouve aussi des communautés Wyandotte au Michigan (les Wyandots de la Nation Anderdon) et au Kansas (Nation Wyandot du Kansas).

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/petun1.jpg Tionontati (Pétuns)
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    Peuples autochtones au Canada

    Au Canada, le terme peuples autochtones fait référence aux Premières Nations, aux Métis et aux Inuits. Ces peuples sont les premiers habitants de la terre qui est maintenant le Canada. Lors du recensement de 2021 mené par Statistique Canada, plus de 1,8 million de personnes au Canada ont déclaré s’identifier en tant qu’Autochtones, ce qui représente 5 % de la population nationale. Gravement menacés, et dans certains cas anéantis, par les forces coloniales, la culture, la langue et les systèmes sociaux des Autochtones n’en ont pas moins façonné le développement du Canada, et ils continuent de s’épanouir et de prospérer malgré une extrême adversité.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/6b4e238c-0491-441a-a8c7-c5f909683ee7.jpg Peuples autochtones au Canada
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    Phil Fontaine

    Larry Phillip (Phil) Fontaine, O.C., O.M., chef national de l’APN, militant, conseiller en relations autochtones (né le 20 septembre 1944 dans la Première Nation de Sagkeeng, sur la réserve de Fort Alexander, au Manitoba). Fait sans précédent, Phil Fontaine a exercé pendant trois mandats les fonctions de chef national de l’Assemblée des Premières Nations (APN). Sous sa direction, celle-ci a négocié l’Accord de Kelowna et la Convention de règlement relative aux pensionnats indiens. Phil Fontaine a reçu de nombreux prix et distinctions. Il a ainsi reçu le Prix national d’excellence décerné aux Autochtones, il a été fait membre de l’Ordre du Canada et il est titulaire de nombreux doctorats honorifiques. En 2017, il a lancé « De la reconnaissance à l’action », une campagne visant à faire reconnaître légalement le statut des peuples autochtones comme nations fondatrices du Canada.

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    La maison semi-souterraine

    Une maison semi-souterraine est un type d’habitation historiquement utilisée par divers peuples autochtones vivant dans la région du Plateau du Canada. Construites partiellement dans le sol, les maisons semi-souterraines fournissaient chaleur et abri durant la saison hivernale. Bien que les maisons semi-souterraines ne servent plus d’habitations courantes, elles conservent une importance culturelle pour plusieurs peuples autochtones. On trouve des vestiges et des répliques de maisons semi-souterraines dans diverses parties du Canada. (Voir aussi Histoire de l’architecture des Autochtones au Canada.)

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/f78eb160-4435-47f0-b8d4-d0694aa6ac55.jpg La maison semi-souterraine