Peuples autochtones | l'Encyclopédie Canadienne

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    Planche porte-bébé

    Dans l’histoire, la planche porte-bébé a été utilisée par divers peuples autochtones pour protéger et transporter les bébés. Solidement attaché à une fine planche rectangulaire, un bébé pouvait être porté sur le dos de sa mère ou placé dans un endroit sûr pendant qu’elle se consacre à sa routine quotidienne. Dans certaines collectivités, les peuples autochtones utilisent encore des planches porte-bébé.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/495aa08f-68c3-4963-8532-60d59ef3c2e3.jpg Planche porte-bébé
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    La maison de planches

    Historiquement, les maisons de planches étaient des structures construites par divers peuples autochtones de la côte Nord-Ouest du Canada tels que les Salish de la côte, les Kwakwaka’wakw, les Nuu-chah-nulth, les Nuxalk, les Haïdas, les Tsimshians, les Gitxsans et les Nisga’a. Les maisons de planches variaient en taille et en conception, dépendamment de la communauté. Les maisons de planches existent toujours dans certaines communautés, et elles sont principalement utilisées à des fins communautaires et rituelles.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/PlankHouse/SalishPlankHouse1907.jpg La maison de planches
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    Tlicho (Dogrib)

    Les Tlicho (Tłı̨chǫ), aussi appelés Dogrib, sont un peuple autochtone du Canada. Ils appartiennent à la désignation plus large des Dénés qui sont des peuples autochtones de la grande famille linguistique athapascane (ou athabascane). Le nom qu’ils se donnent eux-mêmes est Doné, ce qui veut dire « le peuple. » Pour se distinguer de leurs voisins dénés, incluant les Dénésulines, les Esclaves, les Sahtu Got'ine, et les Lièvres, ils en sont venus à s’identifier comme Tlicho, un mot qui veut dire « côte de chien » en cri, et qui fait référence à une histoire de la création. En 2005, l’accord tlicho, qui permet aux Tlicho de prendre possession de 39 000 km2 de leurs terres traditionnelles, devient le premier accord d’autonomie gouvernementale combiné à la revendication territoriale des Territoires du Nord-Ouest. Selon le Bureau de la statistique des Territoires du Nord-Ouest (2019), la population de la région des Tlicho sur le territoire est de 2983 habitants.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/Tłı̨chǫ_girls-1.jpg Tlicho (Dogrib)
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    Peuples autochtones et politique gouvernementale au Canada

    Durant la majeure partie de l’histoire des interactions politiques entre les peuples autochtones et le gouvernement canadien (et ses prédécesseurs coloniaux), la politique gouvernementale s’est concentrée sur les Premières Nations. Les Inuits n’ont été qu’à peine reconnus jusqu’aux années 1940, tandis que la responsabilité spéciale envers les Métis et les Indiens non inscrits a été largement reniée jusqu’en 2016. Les débuts de l’histoire de la politique autochtone au Canada ont été marqués par la présence de la France et de l’Angleterre en tant que puissances coloniales. La politique coloniale britannique reconnaissait les peuples autochtones comme des nations souveraines. La politique canadienne post-Confédération était basée, jusqu’à la fin des années 1960, sur un modèle d’assimilation, dont l’un de ses principaux instruments était la Loi sur les Indiens. À partir de la fin des années 1960, la politique gouvernementale s’est progressivement transformée en objectif d’autodétermination des peuples autochtones, un objectif qui doit être atteint grâce aux traités modernes et aux accords d’autonomie gouvernementale.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/4bdede30-06f1-4f71-9047-c7db15051829.jpg Peuples autochtones et politique gouvernementale au Canada
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    Dakelh (Porteurs ou Carrier)

    Les Dakelh, également appelés Porteurs ou Carrier, sont des Dénés ayant traditionnellement vécu dans différentes régions centrales du nord de la Colombie‑Britannique. Le nom Porteurs provient de l’ancienne coutume voulant qu’une veuve porte, pendant une période de deuil, un sac contenant les cendres de son mari décédé jusqu’à ce qu’une distribution cérémonielle de ses biens la libère de cette obligation. Ce nom constitue également une traduction française du terme Aghele désignant les Dakelh en sékani, un dialecte issu de l’athapaskan (déné). Les Porteurs s’appellent eux‑mêmes Dakelh (les personnes qui « se déplacent sur l’eau »). Pour désigner des groupes spécifiques, ils ajoutent le suffixe xwoten, signifiant « originaires de », ou t’en signifiant « gens de », à des noms de villages ou de lieux (par exemple Tl’azt’en, Wet’suwet’en, etc.) Lors du Recensement de 2016, 7 810 personnes ont déclaré avoir une ascendance dakelh.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/46e0fc31-7bbd-464d-a310-7783799def57.jpg Dakelh (Porteurs ou Carrier)
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    Jerry Potts

    Jerry Potts, ou Ky-yo-kosi, qui signifie « Enfant de l'Ours », éclaireur, guide et interprète (Fort McKenzie, É.-U., 1840 -- Fort Macleod, Alb., 14 juill. 1896).

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/JerryPotts.jpg Jerry Potts
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    Premières Nations

    Les Premières Nations sont l’un des trois groupes de peuples autochtones au Canada, les deux autres étant les Métis et les Inuits. Contrairement aux Métis et aux Inuits, la plupart des Premières Nations possèdent des réserves. Cela dit, les membres des Premières Nations peuvent vivre aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur de ces réserves. Le terme « Première Nation » peut désigner un vaste groupe ethnique (comme celui de la nation crie) mais, dans d’autres cas, il peut être synonyme du terme « bande ». Ce dernier a été choisi au départ par le gouvernement fédéral et est utilisé dans la Loi sur les Indiens. Le terme « bande » désigne des communautés plus petites. Beaucoup de Premières Nations préfèrent le terme « Première Nation » à celui de « bande ».

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/4bdede30-06f1-4f71-9047-c7db15051829.jpg Premières Nations
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    Premières Nations en Colombie-Britannique

    On trouve 203 Premières Nations en. Les Premières Nations sont l’un des trois groupes de peuples autochtones au Canada, les deux autres étant les Métis et les Inuits. Contrairement aux Métis et aux Inuits, les Premières Nations peuvent détenir des réserves, et les membres d’une Première Nation peuvent vivre aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur des réserves. Le terme Première Nation peut désigner un vaste groupe ethnique (comme celui de la nation dénée), mais dans d’autres cas, il peut être synonyme du terme bande, originellement choisi par le gouvernement fédéral et utilisé dans la Loi sur les Indiens. Le terme bande désigne des communautés plus petites, comme celles nommées dans la liste qui suit. Plusieurs Premières Nations préfèrent le terme Première Nation à celui de bande. Quant à leur appartenance à des groupes ethniques plus importants, les Premières Nations de Colombie-Britannique se rattachent aux Salish de la côte, aux Dakelh, aux Dénés, aux Haïdas, aux Kaska Dena, aux Ktunaxa, aux Nisga’a, aux Nlaka’pamux, aux Okanagan, aux Secwepemc, aux Sékanis, aux Stl’atl’imx, aux Sto:lo, aux Tahltans, aux Tlingits, aux Tsilhqot’in, aux Tsimshians et aux Wet’suwet’en.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/e3bcb984-16ff-4f24-ac3d-1794f2fa51f5.JPG Premières Nations en Colombie-Britannique
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    Principe de Jordan

    Le principe de Jordan est un principe de l’enfant d’abord qui garantit que les enfants des Premières Nations peuvent avoir accès aux mêmes services que les autres enfants du Canada. Le principe de Jordan doit son nom à Jordan River Anderson, un enfant cri décédé à l’âge de cinq ans, après avoir attendu d’être approuvé pour des soins à domicile depuis l’âge de deux ans, soins qui ne sont jamais arrivés en raison d’un différend financier entre le gouvernement fédéral et le gouvernement provincial. Le principe de Jordan a été mis en œuvre afin d’assurer qu’une telle tragédie ne se reproduise plus jamais.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/jordans-principle-logo.png Principe de Jordan
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    Première Nation micmaque Qalipu

    Qalipu est une Première Nation micmaque établie à Terre-Neuve-et-Labrador . La nation a été créée en 2011 en vertu de la Loi sur les Indiens . Selon le gouvernement fédéral , en 2021 Qalipu compte 24 464 membres inscrits, ce qui en fait la deuxième plus importante Première Nation en termes de population au Canada. Les membres de la nation sont originaires de 67 différentes communautés de Terre-Neuve. En 2020, on estime qu’environ 95 % des membres de Qalipu vivent à Terre-Neuve-et-Labrador, les 5 % restants vivent un peu partout au Canada. La Première Nation micmaque Qalipu ne contrôle actuellement aucune terre de réserve (voir aussi Réserves en Terre-Neuve-et-Labrador ).

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/Marc Humber article pic.jpg Première Nation micmaque Qalipu
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    Questions relatives aux femmes autochtones du Canada

    Les femmes des Premières Nations, les Métisses, et les Inuites (collectivement appelées femmes autochtones) font face, de nos jours, à de nombreux problèmes socio-économiques en raison des effets de la colonisation. Les Européens ont imposé un système de gouvernement et de société contrôlés par les hommes (connu sous le nom de patriarcat) aux sociétés autochtones. La Loi sur les Indiens de 1876 a désavantagé certaines femmes autochtones en les excluant du gouvernement du Conseil de la bande et en appliquant des mesures discriminatoires qui retiraient leurs droits du statut d’Indien. Aujourd’hui, de nombreuses femmes autochtones ouvrent la voie dans le domaine de la guérison des blessures dues à la colonisation, alors qu’elles font face aux enjeux des pensionnats indiens, des jeunes filles et femmes autochtones disparues et assassinées, de la violence et des mauvais traitements, de la drogue, l’alcool et autres substances (voir aussi Féminismes autochtones au Canada).

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/64c38e30-7fd2-4acc-a41a-0b4d9d991bd2.jpg Questions relatives aux femmes autochtones du Canada
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    Ségrégation raciale des Autochtones au Canada

    La ségrégation raciale représente la séparation forcée de différents groupes raciaux dans un pays, une communauté ou un établissement. Au cours de l’histoire, la ségrégation raciale des Autochtones au Canada a été imposée, entre autres, par la Loi sur les Indiens, le système de réserves, les pensionnats indiens et les hôpitaux indiens. Ces politiques, qui entrent en conflit avec les systèmes sociaux, économiques, culturels et politiques des peuples autochtones, contribuent aussi à la colonisation européenne partout au pays. La ségrégation des peuples autochtones au Canada doit être analysée dans un contexte historique de contacts entre les peuples, de principes de découverte et de conquête, ainsi que de colonisation continuelle.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/e2fc5e7b-a9d8-44b1-9ad2-d3eb4b918457.jpg Ségrégation raciale des Autochtones au Canada
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    Carl Ray

    Carl Ray, artiste, illustrateur, rédacteur en chef et professeur d’art cri (né en janvier 1943 à Sandy Lake, en Ontario; décédé le 26 septembre 1978 à Sioux Lookout, en Ontario). Carl Ray est réputé pour ses peintures innovantes dans le style de l’école des Woodlands. Il est un des membres fondateurs du Groupe indien des Sept. Son travail a influencé l’art autochtone au Canada et ses œuvres font partie des collections de divers musées et galeries d’un bout à l’autre du pays.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/0c7246ce-04d4-4027-9907-07156a5ba0d6.jpg Carl Ray
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    Réconciliation au Canada

    Au Canada, le processus de réconciliation est lié à la relation que le gouvernement fédéral a avec les peuples autochtones. Le terme en est venu à décrire les tentatives faites par des individus et des institutions pour sensibiliser la population à la colonisation et ses impacts continus sur les peuples autochtones. La réconciliation fait également référence aux efforts déployés pour reconnaître les préjudices causés par diverses politiques et divers programmes de colonisation, comme les pensionnats indiens. Pour certains, le mot représente l’opportunité de réfléchir au passé, de guérir et corriger les choses. Pour d’autres cependant, les gestes actuels de réconciliation semblent être simplement performatifs et ils manquent d’action significative pour adresser le mal fait par la colonisation.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/10022750263_777cc2f581_k-1.jpg Réconciliation au Canada
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    Relations entre les Autochtones et les Français

    Les pêcheurs, colons, marchands de fourrures, missionnaires et agents coloniaux français faisaient partie des premiers Européens qui ont entretenu des contacts suivis avec les peuples autochtones dans ce qu’on appelle aujourd’hui le Canada et l’Amérique du Nord.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/b96104e1-6349-423e-a0fe-a7e56cb370bc.jpg Relations entre les Autochtones et les Français