Colombie-Britannique | l'Encyclopédie Canadienne

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    Colombie-Britannique

    Province la plus à l'ouest du Canada, la Colombie-Britannique est un territoire montagneux dont la population se concentre surtout dans la région du sud‑ouest. La Colombie‑Britannique est la troisième plus grande province du pays, après le Québec et l'Ontario : elle occupe 10 % de la superficie du Canada.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/449cfbc9-a5ff-4a70-b1e2-58f5ab29ffa5.jpg Colombie-Britannique
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    La caravane des peuples autochtones

    La caravane des Autochtones, une manifestation de contestation politique, ayant pris, en1974, la forme d’une traversée du pays, avait pour objectif principal de sensibiliser le public aux mauvaises conditions de vie des Autochtones au Canada et aux discriminations dont ils étaient victimes. Partie de Vancouver, elle est arrivée à Ottawa, où elle a occupé, par la suite, un entrepôt vide sur l’île Victoria, près de la colline du Parlement, jusqu’en1975. Elle réunissait divers groupes autochtones protestant contre le non‑respect des traités, ainsi que contre les lacunes gouvernementales en matière de financement de l’éducation, du logement et des soins de santé. Elle aura permis d’accroître la fréquence des réunions entre les ministres du Cabinet et les dirigeants autochtones et restera dans les mémoires comme un tournant important de l’activisme autochtone au Canada.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/e9e4a925-a033-404d-9819-a3bb46fe9c8e.jpg La caravane des peuples autochtones
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    La résistance et les pensionnats indiens

    Les pensionnats indiens étaient des écoles religieuses qui étaient parrainées par le gouvernement et que de nombreux enfants autochtones ont été forcés de fréquenter. Elles ont été instaurées afin d’assimiler les enfants autochtones à la culture euro-canadienne. Les enfants et les parents autochtones n’ont pas simplement accepté le système des pensionnats indiens. Les peuples autochtones se sont battus contre l’État, les écoles et d’autres principaux intervenants du système, et s’y sont également impliqués. Pendant la durée de l’ère des pensionnats indiens, les parents ont agi dans l’intérêt de leurs enfants et de leurs communautés. Les enfants ont réagi de manière à pouvoir survivre.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/ResistanceandResidentialSchools/a101771-v8.jpg La résistance et les pensionnats indiens
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    Maisie Hurley

    Maisie Hurley, née Maisie Amy Campbell-Johnston, militante de la région de Vancouver et alliée autochtone (voir Peuples autochtones du Canada), fondatrice de journal et collectionneuse d’art (née le 27 novembre1887 à Swansea, pays de Galles; morte le 3 octobre1964 à North Vancouver, Colombie-Britannique). Bien qu’elle ne possédait aucun diplôme ou formation en droit (voir Éducation juridique), elle a travaillé sur plusieurs affaires judiciaires, elle a défendu les droits fondamentaux des Autochtones et milité pour des changements à la Loi sur les Indiens. En 1946, Maisie Hurley a lancé un journal, TheNative Voice, destiné à sensibiliser l’opinion publique à des enjeux importants touchant les communautés autochtones du Canada (voir Droits des peuples autochtones au Canada). En 2011, sa collection d’art autochtone a été exposée au musée de North Vancouver.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/Untitled-11.jpg Maisie Hurley
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    Réserves en Colombie-Britannique

    En 2019, on comptait 1 583 réserves en Colombie‑Britannique associées à 203 nations autochtones (voir aussi Premières Nations en Colombie‑Britannique). Contrairement à de nombreuses autres régions du pays, où les réserves résultent de traités conclus entre le gouvernement fédéral et les nations autochtones, la plupart des réserves de la Colombie‑Britannique ont été créées en l’absence de telles négociations. Seules deux régions de la Colombie‑Britannique sont visées par des traités historiques, à savoir l’île de Vancouver par les Traités de Douglas et l’extrême nord‑est de la province par le Traité 8. En Colombie‑Britannique, comme ailleurs au pays, les réserves sont liées par les modalités de la Loi sur les Indiens. Cependant, étant donné le nombre de nations autochtones non visées par un traité, le gouvernement provincial a mis en place un processus moderne de négociations territoriales. Plusieurs communautés autochtones de la Colombie‑Britannique ont eu recours à ce processus ou à d’autres moyens pour négocier des ententes d’autonomie gouvernementale conférant aux gouvernements autochtones le pouvoir de décision en matière de gestion des terres.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/ReservesInBC/TribalCanoeJourney.jpg Réserves en Colombie-Britannique
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    Traumatisme intergénérationnel et les pensionnats indiens

    Le traumatisme historique se produit lorsqu’un traumatisme causé par l’oppression historique se transmet de génération en génération. Pendant plus de 100 ans, le gouvernement canadien a soutenu les programmes de pensionnats indiens qui isolaient les enfants autochtones de leurs familles et de leurs communautés (voir Pensionnats indiens au Canada). Sous le couvert de l’éducation et de la préparation des enfants autochtones à leur participation à la société canadienne, le gouvernement fédéral ainsi que d’autres administrations du système des pensionnats indiens ont commis ce qui a depuis été décrit comme un acte de génocide culturel. Lorsque des générations d’élèves ont quitté ces institutions, ils sont retournés dans leurs communautés sans les connaissances, les aptitudes ou les outils nécessaires pour affronter l’un ou l’autre monde. Les répercussions de leur vécu dans les pensionnats indiens continuent d’être ressenties par les générations suivantes. C’est ce qu’on appelle le traumatisme intergénérationnel.

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    https://www.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9 Traumatisme intergénérationnel et les pensionnats indiens