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Barrhead
Barrhead, ville de l'Alb.; pop. 4432 (recens. 2011), 4209 (recens. 2006); const. en 1946. Barrhead est située à 118 km au nord-ouest d'Edmonton, dans la vallée de la rivière Paddle.
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Barrhead, ville de l'Alb.; pop. 4432 (recens. 2011), 4209 (recens. 2006); const. en 1946. Barrhead est située à 118 km au nord-ouest d'Edmonton, dans la vallée de la rivière Paddle.
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Barrie, ville de l’Ontario constituée en 1959; population de 147 829 habitants (recensement de 2021), de 141 434 habitants (recensement de 2016). Barrie est située au bout de la baie de Kempenfelt, sur la rive ouest du lac Simcoe. Faisant partie du comté de Simcoe, Barrie a des frontières communes avec les municipalités d’Oro-Medonte, Springwater, Essa et Innisfil. Tout au long de l’histoire, la région de Barrie a été habitée par de différents groupes autochtones, à savoir les Hurons-Wendats, les Haudenosaunee et les Anichinabés. Le territoire est visé par les traités nos 16 et 18.
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Barrington, municipalité rurale de la N-É.; pop. 7331 (recens. 2006), 7648 (recens. 2001), const. 1879. Barrington est située sur la rive Sud, à 35 km de Shelburne.
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Le Bas-Canada a été une colonie britannique de 1791 à 1840, formée de la partie méridionale de l’actuelle province de Québec. En 1791, la Grande-Bretagne divise la Province de Québec en deux parties : le Haut-Canada et le Bas-Canada (voir Acte constitutionnel de 1791). L’Angleterre a adopté cette même politique de division territoriale deux fois auparavant, lors de la séparation de l’Île-du-Prince-Édouard de la Nouvelle-Écosse en 1769 ; et en 1784, après une vague d’immigration loyaliste (ayant aussi touché le Québec), lors de la création des provinces du Cap-Breton et du Nouveau-Brunswick. Le Haut-Canada et le Bas-Canada sont renommés Canada-Ouest et Canada-Est respectivement, avant d’être réunis en 1841 en une seule colonie, la Province du Canada.
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Bas-Caraquet, village du N.-B.; pop. 1380 (recens. 2011), 1471 (recens. 2006), const. en 1966. Bas-Caraquet est situé à 7 km à l'est de Caraquet.
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L’église Notre-Dame de Québec est une basilique-cathédrale qui a le statut de primatiale (église mère d’un primat de l’Église catholique du Canada, en l’occurrence l’archevêque de Québec). Elle est aussi le siège de l’archidiocèse métropolitain de Québec.
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La Basilique Notre-Dame de Montréal est située à l’intersection des rues Notre-Dame Ouest et Saint-Sulpice dans l’arrondissement de Ville-Marie. Ce joyau du patrimoine religieux québécois est érigé par les Sulpiciens afin de servir d’église paroissiale. Construite de 1824 à 1829, Notre-Dame de Montréal est un des plus anciens exemples d’architecture religieuse de style néo-gothique au Canada. Cette construction hardie et novatrice à l’échelle alors inégalée en Amérique du Nord est due à James O’Donnell, un architecte irlandais originaire de New York. Sa décoration intérieure réalisée sous la supervision de Victor Bourgeau, de même que la richesse de ses ornements, sont uniques et suscitent chez le visiteur un réel émerveillement. Elle est d’ailleurs l’un des attraits touristiques majeurs de la Ville de Montréal.
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À l'époque où les CASTORS (Athapaskans) occupent la région, avant les explorations et la colonisation par les Européens au 19 siècle, la plus grande partie des basses-terres de la rivière de la Paix est recouverte d'une forêt de peupliers faux-trembles.
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Quand on parle des basses terres du Saint-Laurent on entend la plaine qui borde le fleuve Saint-Laurent entre la ville de Québec, à l'est, et Brockville, en Ontario, à l'ouest. À l'ouest, cette plaine comprend la vallée de l'Outaouais jusqu'à Renfrew, en Ontario.
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Un bassin hydrographique est un territoire qui déverse l’eau qu’il a reçue sous forme de précipitations vers un cours d’eau ou un réseau hydrographique de cours d’eau.
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Macleans
Cet article provient du magazine Maclean’s. Il est uniquement disponible en anglais.Cet article a été initialement publié dans le magazine Macleans (15/05/1995)
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La bataille de la crête de Vimy, pendant la Première Guerre mondiale, s’est déroulée sur le front Ouest, dans le nord de la France, du 9 au 12 avril 1917. Elle constitue la victoire militaire canadienne la plus célébrée, allant parfois jusqu’à être considérée comme le symbole quasiment mythique de l’émergence du sentiment et de la fierté d’appartenir à la nation canadienne. Les quatre divisions du Corps canadien, combattant ensemble pour la première fois, ont attaqué la crête du 9 au 12 avril 1917 et ont réussi à l’arracher des mains de l’armée allemande. Bien que cet exploit ait constitué, à ce moment-là de la guerre, l’avancée territoriale la plus importante jamais réalisée par les forces alliées, il n’aura finalement que peu d’influence sur le résultat du conflit. Plus de 10 600 Canadiens ont été tués ou blessés pendant l’assaut. De nos jours, un monument emblématique blanc, érigé au sommet de la crête, rend hommage aux 11 285 Canadiens tués en France pendant toute la guerre et restés sans sépulture. Ce texte est l’article intégral sur la bataille de la crête de Vimy. Si vous souhaitez lire un résumé en langage simple, veuillez consulter l’article Bataille de la crête de Vimy (résumé en langage simple).
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La bataille de Normandie de 1944, du débarquement du jour J, le 6 juin, à l’encerclement de l’armée allemande à Falaise, le 21 août, est l’un des événements marquants de la Deuxième Guerre mondiale et la scène de certains des plus grands exploits militaires du Canada. Les marins, soldats et aviateurs canadiens ont joué un rôle de premier ordre dans l’invasion de la Normandie par les Alliés, également appelée opération Overlord, qui a déclenché le début d’une sanglante mission pour libérer l’Europe de l’Ouest de l’occupation nazie. Près de 150 000 troupes alliées ont atterri ou ont été parachutées dans la zone d’invasion au jour J, dont 14 000 Canadiens à Juno Beach. La Marine royale canadienne a fourni 124 navires et 10 000 marins, et l’Aviation royale canadienne a fourni 39 escadrons à l’opération. Le nombre total de victimes alliées pendant le jour J s’est élevé à plus de 10 000, y compris 1096 Canadiens, dont 381 ont été tués au combat. À la fin de la bataille de Normandie, les Alliés ont compté 209 000 victimes, dont plus de 18 700 Canadiens. Plus de 5000 soldats canadiens sont décédés.
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La bataille de Passchendaele, aussi connue sous le nom de troisième bataille d’Ypres, a été livrée pendant la Première Guerre mondiale, du 31 juillet au 10 novembre 1917. Elle a eu lieu sur le saillant d’Ypres sur le front occidental, en Belgique, où les armées allemandes et alliées avaient été immobilisées depuis trois ans. Le 31 juillet, les Britanniques entreprennent une nouvelle offensive, tentant de briser les lignes allemandes en saisissant une crête près du village en ruines de Passchendaele. Le 26 octobre, après l’échec des troupes britanniques, australiennes et néozélandaises à l’attaque, le Corps canadien s’est engagé dans la bataille. Le 6 novembre, les Canadiens ont capturé la crête, malgré un pilonnage d’artillerie et une pluie abondante qui a transformé le champ de bataille en bourbier. Près de 16 000 Canadiens ont été tués ou blessés. La bataille de Passchendaele n’a eu aucun effet réel sur les efforts des Alliés, et est devenue un symbole des massacres insensés de la Première Guerre mondiale.
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